@maryhoon Merci pour tes mots . Même si mon sevrage se passe bien, je n’oublierai jamais les premières semaines longues et pénibles . C’est quand même une sacrée épreuve !!!
Oh merci @Chrisaude . T inquiète je résiste. Je sais pas si j aurai la force de recommencer le sevrage a zéro. Du coup…je tiens bon meme si c est pas facile. C est chouette si tout le monde te félicite. Moi y a quasi que des fumeurs dans mon entourage ou des gens qui n ont jamais fumé. Les premiers sont jaloux…ils vont pas me feliciter …et les seconds comprennent rien au smilbik de l arret du tabac …mais j ai vous tous
Bonjour @Chrisaude
Ton témoignage me fait chaud au cœur car je vis exactement la même situation. Bronchite chronique obstructive stade 3, et ai fumé jusqu’à l’étouffement pour mille raisons et difficultés personnelles, ce qui est ridicule . Je culpabilise aussi après ces 50 ans de clope . J’ai arrêté il y a 24 jours avec des pastilles nicorettes. Le manque ça va mais mon moral est à zéro ! Je ne me reconnais pas. Crises de larmes, insomnies angoisses envie de rien, je ne me sens bien nulle part . En plus le moindre effort m’essoufle et donner le change en présence d’amis ou pour effectuer des tâches quotidiennes ou aller marcher un peu, tout cela est épuisant . J’ai un traitement de fond prescrit par la pneumo qui m’aide un peu et je vais bientôt aller en rééducation du souffle également . J’espère en avoir la force et qu’enfin je vais pouvoir me sentir un peu mieux …
Merci encore d’avoir pu te lire car je me sens moins seule à vivre ce calvaire …
Bonjour @Clotilde, oui le moral en baisse est un des symptômes possibles dans l’arrêt de la nicotine. La bonne nouvelle, c’est que cela ne va pas durer.
Comme l’explique notre page Quantité de nicotine contenue dans une cigarette - Stop-tabac.ch
" Lorsque l’on consomme de la nicotine, le rôle de certains récepteurs change. On parle désormais de récepteurs nicotiniques. La nicotine va se fixer à ces récepteurs et agir sur le système de récompenses en libérant divers neurotransmetteurs dont la dopamine.
L’absorption de la nicotine devient une condition nécessaire à la libération de dopamine. La dopamine apporte des sentiments de joie et de satisfaction. Ce cercle vicieux crée une dépendance."
Et lorsque vous arrêtez la nicotine, au début, le cerveau peut se sentir « perdu » et ne pas libérer assez de dopamine, d’où la déprime.
Mais la plasticité neuronale - c’est à dire (pour vulgariser) la plasticité du cerveau - est prodigieuse: les récepteurs des neurones qui réagissaient à la nicotine et libéraient de la dopamine vont à nouveau changer. Et peu à peu revenir à la normale, avant la consommation de tabac.
Néanmoins, je le conseillerais à chaque tributain·aine, si cela est vraiment trop difficile à vivre, de ne pas hésiter à consulter un médecin (ou un médecin psychiatre).
Courage, vous allez réussir!
Bravos pour vos arrets
J ai lu que du bien sur le livre d allen carr mais je l ai.pas achetez
Bonne continuation.sur votre arret definitif
Vous pouvez prendre du.magnesium contre le stress