@Épicéa hahahahah tellement!
ça fait parti des raisons pour lesquelles je me suis lancé dans l’aventure :)))
Bravo à nous ! comme tu dis :))
Depuis mon arrêt, il y a 3 semaines et 1 jour :))) je passe mon temps à chercher des infos sur le net sur le sevrage tabagique et les addictions mais je tombe la majeure partie du temps sur les mêmes non fumeurs qui sortent des généralités exaspérantes avec l’impression de ne pas obtenir des réponses précises à mes questions.
Il n’y a qu’ici, entre ex fumeurs, que les réponses sont vraiment les plus convaincantes.
Mais bon, pour m’occuper l’esprit et essayer de comprendre le mécanisme du sevrage pour mieux le « maîtriser » je farfouille frénétiquement. Pour vous expliquer mon niveau de débilité assez élevé : mon médecin généraliste est aussi addictologue et c’est lui qui a monté une assos contre les addictions dont je vous ai déjà parlé … Et depuis 3 semaines je n’ai même pas pensé à prendre un rendez-vous pour en discuter avec lui … je vous rassure, c’est enfin chose faite et demain ce sera une séance d’hypnose et un rdv avec mon médecin en suivant.
BREF, à force de chercher seul et de ne pas trouver ce que j’attendais vraiment, j’ai demandé à CHAT GPT (je sais, c’est pas bien, mais bon , en sevrage, on a droit à tout pour s’en sortir hein ? :)) et je dois avouer que sa réponse correspond de façon synthétique et clarifiée à mes attentes et viens valider vos dires.
En fait ça me rassure de savoir scientifiquement ce qui m’attend pour mieux pouvoir l’affronter.
Voici donc sa réponse : beaucoup s’y reconnaîtront je pense
La période de « souffrance » liée au manque de nicotine, sans substituts, varie d’une personne à l’autre, mais voici un aperçu général basé sur ce qu’on observe le plus souvent :
1) Phase aiguë du sevrage : 3 premières semaines
Le manque physique de nicotine est le plus fort.
Les symptômes comme l’irritabilité, l’anxiété, les troubles du sommeil, la fatigue ou les fringales sont les plus intenses.
Le cerveau réclame encore fortement sa « dose ».
2) Phase de manque psychologique et comportemental : 4 semaines à 3 mois et parfois plus
Ce n’est plus le manque physique de nicotine qui domine, mais les habitudes, les automatismes (après le café, en pause, dans le stress, etc.). Les moments de manque vont continuer à diminuer en fréquence et en intensité.
Des envies peuvent surgir par moment, souvent très intenses mais courtes (quelques minutes) : « cravings ». Ils vont devenir de plus en plus rares et moins forts avec le temps.
3) Reconstruction cérébrale
Le cerveau met du temps à se « réparer » et à se passer de la dopamine rapide que lui offrait la nicotine. En moyenne : 1 mois ½ à 3 mois pour que les récepteurs nicotiniques reviennent à la normale. Environ 3 à 6 mois pour que les pics d’envie disparaissent quasi complètement.
Au-delà, certains ex-fumeurs peuvent encore avoir des envies très ponctuelles (souvent liées à une émotion forte ou un contexte précis).
Plus tu avances, plus tu reprogrammes ton cerveau à fonctionner sans nicotine.
Vous en pensez quoi ?
Oui tu as raison, c’est clair et ça a l’air assez juste.
Perso je suis à 43 jours et j’éspère que ça va être comme ça.
Je me retrouve aussi là dedans
Et un détail m’assure de ta progression certaine @50ans : Tu ne nous annonces déjà plus les heures et les minutes de ton parcours.
C’est vrai que l’aide dont nous pourrions bénéficier est parfois tellement près de nous que nous ne la voyons pas.
Et elles sont toutes bonnes à prendre (IA y compris ).
Que tes rendez-vous prochains te permettent d’atténuer tes souffrances et rendent ta suite plus douce
@Épicéa Ahaha, je continue à la maison mais j’essaye de ne pas focaliser dessus sinon je me fais des noeuds au cerveau :))))
Je vais demander à deepseek
Hello @50ans,
comment je me sent?
C’est un yoyo, j’avais foncé dans le sport, puis un vol en trottinette et un doigt cassé, qui m’as calmé et un peu déprimer.
C’était un peu la crise de devoir me réadapter, maintenant je peut reprends doucement…
J’ai pas pris de substitut mais ça m’est arriver 3 fois de fumer une clope sans tabac.